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Brian Herbert et Kevin Anderson remontent le temps dans l'univers de Dune et explorent les origines des légendes et personnages de la saga Dune.
Brian et Kevin (on va raccourcir 🙂) s'étaient déjà essayés à cet exercice dans Prelude to Dune, en relatant les événements qui se sont passés juste avant Dune. Là, ils remontent bien plus loin, à l'époque où les Machines Pensantes régnaient en maître.
Le Jihad Butlérien, souvent mentionné dans la série Dune, est sensée être une guerre des humains contre les machines, qui a eu pour issue de libérer les humains et d'anéantir les machines inteligentes. Et de là découle tout le fondement de la société humaine de Dune.
Brian et Kevin se sont donc lancés dans la narration des événements de ces temps immémoriaux, avant de poursuivre sur la lignée de Chapterhouse: Dune (La Maison des Mères), comme ils le promettent.
Comme dans Dune, l'histoire tourne autour de quelques personnages-clés qui marquent le tournant de l'histoire (littéralement, vu qu'ils vont influer sur le Jihad Butlérien), et ce sur plusieurs générations au cours des trois livres. Et comme par hasard, ce sont des Harkonnen et des Atreides. 🙂 En parallèle, on assiste à la naissance des grandes forces en présence dans Dune : les Mentats, la Guilde, le Bene Gesserit et le Bene Tleilax.
A cette époque, l'univers connu est divisé entre deux forces majeures, la Ligue des Nobles, dirigés par les survivants humains de l'Ancien Empire et les Mondes Synchronisés, sous la domination de l'rodinateur Omnius. Ils sont enlisés dans une paix relative, mais sous l'impulsion des Titans, des humains désincarnés aux services des machines, qui lancent une nouvelle attaque sur les mondes de la Ligue, et de la capture de Serena Butler, fille du Vice-Roi de la Ligue, une nouvelle guerre acharnée est sur le point de débuter...
Maintenant ma petite critique du bouquin...
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Mon avis sur The Magic Circle. Ne pas lire pour garder le suspense de l'histoire !
Ce bouquin est louche. Louche et frustrant. Ça commence bien, il y a un mystère, les documents dont Ariel hérite, et le récit de Joseph d'Arimathie qui relate les derniers jours du Christ, et qui raconte que Jésus agissait étrangement, et semblait savoir quelque chose qui lui échappait. Et tout le livre alterne entre les aventures d'Ariel Behn au XXème siècle et le récit de conversations de personnages de l'antiquité, de Joseph d'Arimathie à Caligula, en passant par Pilate.
Mais après ça dérape, les histoires douteuses de la famille Behn remontent, avec des incestes en veux-tu en voilà, et elle se retrouve à coucher avec un cousin, un demi-frère (?), alors que ses grand-parents étaient déjà demi-frères et sœur, tout ça...
Katherine Neville sait titiller le lecteur en laissant des questions suspendues à la fin de ses chapitres, surtout quand elle passe d'une époque à l'autre : Ariel réussit-elle à échapper à son sort ? Caligula réussit-il à réunir les objets magiques ?
Le plus fort, c'est que Katherine Neville invente ces histoires de toutes pièces, les objets magiques n'existent pas, et le cercle magique non plus ! Et elle rend ça crédible !
Mais il y a mais, la fin est frustrante au plus haut point (du moins pour moi). Pendant tout le bouquin on me parle d'une douzaine d'objets qui une fois réunis dans le cercle magique (une région autour du Rhin), permet le passage à une nouvelle ère, par la tuant les anciens dieux et en créant de nouveaux. Et les documents dispersés dans la famille Behn permettent de les retrouver.
Et bien à la fin, ils retrouvent juste les documents, et ils les étudient. Ils disent qu'ils pourraient éventuellement peut-être aller les chercher une fois le décodage effectué. Voilà. Youpi.
Bien NON ! A chaque fin de chapitre dans l'antiquité ça finit par "on doit donc trouver ces obejts maintenant !" et à la fin du bouquin on me dit même pas où sont la moitié de ces objets et ce qu'ils font réellement une fois réunis. C'est frustrant !
Bon en plus les histoires de la famille Behn sont vraiment tordues et ne m'intéressaient pas tellement que ça.
Au final un livre que j'ai pas vraiment aimé...
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Présentation du roman The Magic Circle de Katherine Neville.
Katherine Neville est l'auteur de plusieurs romans dans le style de Da Vinci Code, mêlant aventures aux légendes ésotériques.
L'un d'entre eux est The Magic Circle, qui raconte les tribulations d'Ariel Behn, experte en énergie nucléaire qui re retrouve impliquée malgré elle dans la recherche de documents très anciens décrivant le moyen d'obtenir des pouvoirs divins, en retrouvant certains objets et en les amenant à un certain endroit.
Cette quête commence quand elle hérite d'une partie de ces documents de son cousin, et elle est loin de se douter que ça la mènera à travers le monde, et qu'elle y découvrira de lourds secrets sur son étrange famille.
En parallèle de cette histoire on découvre le passé de ces objets mystiques au travers des récits de personnages légendaires et historiques, tels Joseph d'Arimathie, Caligula, ou même Hitler...
Des détails sur The Magic Circle...
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J'ai eu une déconnexion aujourd'hui alors que je regardais une vidéo...
Donc je suppose que ça ne vient pas du Bluetooth que j'avais enlevé. Du coup je l'ai remis.
Hypothèses actuelles, disculpations :
- Je ne crois pas que ça vienne du routeur, les autres machines n'ont pas souffert d'un quelconque problème.
- 9Tel non plus, le serveur n'a pas reporté de changement d'IP.
Nouvelles hypothèses, nouveaux essais :
- Apple Bonjour (anciennement Rendezvous). L'implémentation Apple de la technologie Zeroconf, en version beta pour Windows. J'avais installé ça il y a un moment pour le fun. Il ne me semble pas avoir constaté de problèmes particuliers, mais bon, on sait jamais, je l'ai désinstallé, ça me sert à rien.
- Grenouille, le logiciel de mesure de débit. J'y avais pensé parce que ça effectue des connexions à intervalles réguliers. Mais je me rappelle qu'il n'avait pas marché un mois après un changement d'interface réseau, suite à un test de déconnexion... Je le garde pour l'instant, si j'ai une nouvelle déconnexion je vire.
- Patch de limitation de connexion TCP/IP de la pile réseau Windows. Depuis le SP2, Windows XP a une valeur de connexion par seconde limité à 10 dans le driver TCP/IP. Au-delà, la connexion échoue, mais ça n'influe presque jamais dans les applications réseau normales, ça réduit l'impact des virus et légèrement le taux de transfert P2P. J'avais passé un patch inofficiel pour passer la limite à 50, mais je me demande si c'est bien nécessaire, vu que je ne ressentais pas une gêne particulière à la limite de 10. J'ai donc enlevé ce patch, et j'ai donc la dll d'origine.
- La carte réseau WiFi. Elle a un an, mais elle peut toujours déconner, ça arrive. Là c'est facile, je brancherai la machine en Ethernet si mes essais ne sont pas fructueux. Si la connexion se stabilise, je rachète une carte.
Là je teste deux modifs d'un coup, ce qui n'est pas très malin pour isoler le problème. Suite au prochain épisode...