No comment

Je me demande s'ils se rendent compte que leur phrase peut être comprise de nombreuses façons ? 😉

Je ne vais pas m'étaler sur le nouvel Explorer que tout le monde a vu partout sur le net, ni sur le nouveau Internet Explorer, ni sur le nouveau Windows Media Player. Non. Je vais vous montrer une raison toute bête et simple de passer à Vista, même si c'est un ogre de ressources. Un truc tout simple que je trouvais dommage que cela n'existe pas...

Et ce truc, c'est ça :

Mélangeur de volume Windows Vista

Bon, la traduction du nom de ce programme est pas terrible, mais regardez ce qu'on a : vous voyez bien, il y a des barres de volume séparées par application. On peut régler le volume des sons système indépendamment du volume de WMP !

Combien de fois je me suis dit que ça serait bien de pouvoir avoir des réglages de volume différents entre applications, en entendant un bruit de nouveau message en regardant une vidéo ou en écoutant de la musique ? Beaucoup. Et avec Vista, plus jamais... 🙂

Autre nouveauté qui va changer la vie de beaucoup de gens, à commencer par les éditeurs d'utilitaires Windows :

Gestion des disques

Vous avez remarqué les lignes Étendre le volume... et Réduire le volume... ? Eh oui, Vista permet de redimensionner à la volée les volumes disques, même le disque de démarrage ! Le fin du fin, c'est que c'est très rapide (quelques minutes pour tronquer de l'espace disque inutilisé, instantané pour agrandir la partition en ajoutant de l'espace libre), et que ça ne nécessite même pas de redémarrage.

Les éditeurs d'utilitaires disque ne vont vraiment pas être contents, et il y a de quoi... Mais bon, c'est tellement simple d'utilisation qu'on se demande pourquoi ils ont pas fait ça avant ! Les autres éditeurs vont devoir se mettre à la page aussi, et vite...

C'est la fin de cet épisode de mon test Vista, see you next time ! 😉

À voir aussi :

• Windows Vista
• Installation de Windows Vista Beta 1
• Remarques sur Windows Vista Beta 1
• Windows Vista RC1 (5600)

En fait tout vient du fait que la puce son intégrée de son PC avait tendance à ne pas être détectée. Soupçonnant un panne imminente, je lui ai proposé de lui donner ma "vieille" Asus A7N8X-E Deluxe, vu qu'elle marche bien, et qu'elle a un puce son intégrée meilleure que son Asus A7N8X-X. Le meilleur dans l'histoire étant que le chipset étant le même, la machine repartirait telle quelle sans rien faire.

Et bien non. 🙁

La première opération, le démontage/remontage s'est très bien passé, et en peu de temps (il a moins de périphériques que moi, il y a moins à manipuler). La machine s'allume normalement. Cool.

Mais une fois démarré, l'affichage est bizarre. Qu'à cela ne tienne, je réinstalle les drivers. Écran bleu. Hmm.

Je démarre en mode sans échec. Je regarde dans le gestionnaire de périphériques, et je constate qu'on y trouve pas moins de 8 RADEON X800 Series, alors que normalment il devrait y avoir 1 RADEON X800 Series, et 1 RADEON X800 Series Secondary. Je désinstalle tout ça, en espérant que ça reprenne normalement au redémarrage. Écran bleu. Uncool.

Je redémarre en mode sans échec. Je regarde dans le gestionnaire de périphériques, et je constate que les 8 RADEON X800 Series sont revenues... 😕

J'ai alors passé les 5 heures suivantes à essayer diverses solutions. Et finalement je me suis résigné à remonter la machine comme à l'origine. Mais j'ai toujours un écran bleu au démarrage. Le drame.

Là, je dois me rendre à l'évidence : il y a quelque chose qui a mal tourné dans l'intervention. J'ai dû griller la carte... Dans le doute, j'essaie avec ma "vieille" Radeon 9700 Pro. Elle est correctement reconnue. Ça doit vraiment être la Radeon X800 XL qui est morte...

Je ne sais expliquer la raison de cette panne. Dû au manque de temps, je n'ai pas pu faire de tests croisés, je n'ai pas pu tester la carte dans une autre machine, ou tester une autre X800 dans celle-ci. De plus, on a depuis envisagé la possibilité que l'alimentation soit insuffisante. Mais est-ce possible qu'une alimentation faiblisse d'un coup ? Peut-être. J'en ai une qui a jeté l'éponge lors d'un bête changement de boîtier...

Maintenant la machine de mon ami se fige aléatoirement. Peut-être un disque. Je ne sais plus quoi penser à présent... Faut qu'on prenne le temps de l'analyser correctement. Je ne m'avouerai pas vaincu.

L'autre jour, j'allais au bout, par le RER A, qui soit dit en passant marche quand même super bien. Mais ce jour-là, après Étoile, le train s'arrête brusquement en plein tunnel...

A ce moment-là, la femme assise à côté de moi soupire. Je feins de ne pas le remarquer, le train repart, et s'arrête à nouveau. Soupir de la femme.

A ce moment-là, je sais clairement ce qu'elle cherche à faire : à attirer l'attention des gens pour pouvoir faire partager sa détresse et son mécontentement. Mais comme je le disais plus haut, moi, je suis satisfait du RER A, et ce n'est pas un incident isolé qui va me faire changer d'avis. En plus, j'ai mon bouquin, j'ai mon iPod, j'étais un peu crevé, tout ça, et le RER me donne l'occasion de me reposer un peu plus. Rien à redire. 🙂

Le train repart de nouveau, et s'arrête de nouveau. Soupir encore, plus fort. Là j'ai envie de lui dire que si elle passe la tête par la fenêtre et qu'elle soupire vers l'arrière du train, on risque d'avancer plus vite, mais c'est le matin tôt, faut pas se fâcher avec les gens aussi tôt. 🙂

Le conducteur annonce qu'il y a en fait un problème mécanique avec un train plus en amont. Soit. Re-soupir. Arg.

Elle essaie d'appeler quelqu'un au téléphone. Mais on est dans le section un peu après Étoile, où le signal ne passe pas. Gros soupir. Elle retente 3 soupirs plus loin, et elle réussit à laisser un message. Soupir quand même.

Au bout d'un moment, elle réussit à s'attirer la compassion d'une autre femme. Mais celle-ci descend juste à la station suivante. Le train repart au ralenti, et les soupirs continuent.

Enfin, quelques stations plus tard (Châtelet ou Gare de Lyon), elle descend, l'air agacé. Je pousse un soupir de soulagement. 🙂

Isabelle, si tu me lis, sois plus zen dans le RER ! 😉